RETOUR D’EXPERIENCE DUN VOYAGE… « sous le soleil des Tropiques »…
J’ai hésité… mais je suis quand même revenue !
Je viens de passer 2 semaines en République Dominicaine avec mon mari.
Expérience inoubliable malgré un mal de dos persistant dû à l’aggravation récente de ma scoliose (qui m’a empêchée de nager : j’ai seulement « trempé » dans une eau à 28°/30°, ce qui a été largement suffisant !), deux jours de « tourista » et un nombre impressionnant de piqures de moustiques nécessitant une injection de cortisone et la prise d’antibiotiques.
Je garde encore le souvenir d’une température extérieure permanente (même en cas de pluie passagère) de 28°/30° identique à celle de l’eau (de mer ou de piscine) et d’une musique ambiante de l’hôtel où nous étions hébergés des plus agréables et déstressantes… !
Le bilan est positif quant au repos et à la prise en charge complète dite « formule all inclusive ». J’ai pu aussi apprendre quelques pas des danses locales latino, merengue ou machata 05omegaquetengoquehacer.mp3 (je n’ai pas pu m’en empêcher car j’adore danser, même s’il a fallu que je me « shoote » au paracétamol pour éviter d’aller ensuite me coucher !).
Les paysages sont très beaux (sable blanc, eau turquoise et palmiers…), tels ceux des images publicitaires ou des cartes postales envoyées par des amis, mais ne représentent pas l’intérieur des terres où la misère sévit.
Toutefois, la culture dominicaine inculque aux habitants bonne humeur, sourires et rires assez paradoxaux pour des occidentaux !
A noter, deux difficultés primordiales :
1° Lors de mon voyage en avion (avec transfert à Paris) : la longueur des transactions d’enregistrement et d’embarquement, puis de récupération des bagages sans mesures prioritaires avantageuses si on n’est pas dans un fauteuil roulant en République Dominicaine ou si on n’a pas de carte d’invalidité à 80% en France …Je me suis demandée si la carte permettant la priorité aux caisses de supermarché faciliterait ces attentes en aéroport, je pense que oui, je vais vérifier…
2° Comment gérer les décalages horaires ? – 6 heures à l’aller et + 6 heures au retour. En fait, ça s’est passé mieux que je me l’étais imaginé ! Il faut écouter son corps et dormir à l’aller pour éviter une ou 2 à 3 doses supplémentaires ; au retour, augmenter si possible l’espace entre les prises en se servant de la période de sommeil du voyage pour essayer de revenir au rythme habituel.
Beau voyage, belle expérience prouvant que je suis capable, que je peux ouvrir une parenthèse dans ma vie quotidienne et découvrir encore… Ce n’est pas la vie de tous les jours mais ça fait du bien… A renouveler dès que possible !
Corinne
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