On parle plus souvent des troubles physiques que comportementaux de la maladie de Parkinson. Pourtant, les fonctions mentales, même si elles ne sont pas touchées dans la plupart des cas d’un point de vue cognitif (jugement-raisonnement), sont ralenties et la réactivité motrice se trouve diminuée. La maladie nous rend « apathiques », indifférents à ce qui nous […]
Archive | 17 décembre 2009
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